Simples questions :
- Pourquoi les casseurs ne fêtent-ils pas leur victoire ou défaite chez eux, en Algérie ?
- Pourquoi ne pas leur enlever la nationalité française et tous les avantages afférents (allocations diverses, bourses scolaires, etc.
- Pourquoi ne pas intégrer, systématiquement, les manifestants pris en flagrant délit de casse, de vol, dans le SNU (service national universel) ?
- Pourquoi les arrestations, les garde-à-vue débouchent-elles, systématiquement, sur une remise en liberté ?
- Pourquoi les peines restent-elles en l’état : peines légères, souvent avec sursis, le plus souvent inappliquées ?
- Pourquoi ne fait-on pas systématiquement un relevé des ressources de ces va-t-en-guerre ?
- La grande majorité des fauteurs de troubles n’ont aucun diplôme. Pourquoi ? Cette grande majorité, tout en touchant des allocations, n’assistent pas aux cours. Il faudrait que les inspections soient faites à l’improviste, sans prévenir de la « visite » 72 heures avant. (L.G.)