A propos des Gaulois… (par K.)

Le tort de Nicolas Sarkozy est de lancer des phrases « buzz » et de ne point les expliciter… En substance, que signifiait-il ? Ceux et celles qui deviennent Français du jour au lendemain se doivent d’accepter une France chargée de patrimoines et de faits qui ont constitué, façonné l’entité France.

En clair, nous descendons des Gaulois, et donc, de Vercingétorix qui en 52 a dit non à l’invasion romaine. Dans le même registre, on peut citer Charles Martel qui en 732 a arrêté, grâce à l’armée et bien de volontaires, l’invasion arabe. Dans cette même rubrique, on pourrait ajouter d’autres noms qui au péril de leur vie se sont opposés aux invasions. Prenons un dernier exemple : Jeanne d’Arc qui bouta les hordes anglaises. Trois noms qui disparaissent peu ou prou des livres d’histoire dits « modernes ».

Enfin, le plus grand et le plus connu des opposants aux meutes étrangères, et au maintien de l’intégrité de notre pays restera à jamais le Général De Gaulle. Cela est clair et bien clair. Tout nouveau Français accepte volontiers ses Droits (allocations diverses…) Il se doit d’agréer au Devoir : le respect du passé français. K.

NB 1 – Le dimanche 25 septembre, on a honoré la mémoire des Harkis, ces Algériens qui ont combattu au côté des Français lors de la guerre franco-algérienne qui a débouché sur les accords d’Evian en 1962. Rendons aussi hommage aux tirailleurs sénégalais qui servirent de force d’appoint aux troupes françaises lors de la 1^ère guerre mondiale. Eux aussi font partie intégrante du patrimoine.

NB 2 – « Les faits, rien que les faits » s’exclamaient en chœur Locke et Voltaire. Mais aussi combien d’autres !

NB 3 – Il est un grand chef que nous avons oublié. Le Chef des Francs : Clovis. C’est lui qui a créé notre France. Il se convertit au catholicisme grâce à St-Léonard. Pour cette raison, l’adhésion au catholicisme, la France est considérée comme la mère aînée de l’Eglise catholique. Pour la petite histoire, rappelons nous qu’à la veille des élections présidentielles de 1981, François Mitterrand s’est fait photographier devant une église, en arrière fond. Que cela plaise ou non : c’est un fait qu’on ne peut nier.