SCOOP : SCÈNE DE MÉNAGE À L'ÉLYSÉE

Au bar d’un zinc, quelque part aux abords de l’Elysée…

-Ya pas de pot notre Président

-Ah bon ?

-Avec les femmes…. Il n’arrive pas à être satisfait.

-C’est vrai. On dit que la Trierweiler a foutu la merde lors de la dispute qui l’a opposée à François. Elle venait d’apprendre la nouvelle et il arrive, débonnaire à l’Elysée.

-La vaisselle de marque, les vases de Sèvres, tout gicle avec les mots de troufion en goguette en prime.

-Non, tu blagues ? Valérie est une femme douce, affable, accorte. Elle est incapable de faire des gestes démentiels….

-Et pourtant pour la calmer, il a fallu les costauds de l’Elysée et une piqûre du médecin appelé de toute urgence. D’où son hospitalisation.

-C’est parce qu’elle était en état de choc, la pauvre. Ça se comprend ! Trop sensible elle n’a pas pu croire aux photos de Closer. Comment croire que l’homme de sa vie, elle, la femme de sa vie (il l’avait dit à Gala en octobre dernier) pût avoir une vie dissolue. C’était un complot… ou la jalousie. Monté de toutes pièces par le clan d’avant.

-On estime pourtant le préjudice subi à trois millions d’euros. Des experts se seraient déplacés.

-Croyez-vous vraiment que si elle avait tout cassé, on l’aurait mis à La Lanterne, résidence de la république ?

-En tout cas, on pourra plus dire que la Valérie, elle casse rien… (rires)

-Tant que Hollande n’aura pas clarifié la situation, moi, je ne croirai rien. Et encore… la parole de Valérie me paraît plus crédible.

-Moi j’attends que Mediapart, Minute et le Canard Enchaîné se mettent en branle.

-T’as raison. Quel Cirque (rires…)