L’infortunée Trierweiler « exilée » dans l’hôpital de La Salpêtrière n’a pas beaucoup vu et entendu Celui qui la considérait comme « la femme de ma vie ». Se déplacera-t-il à La Lanterne –nom prédestiné- résidence normalement dévolue au Premier Ministre ? Par ce choix, elle est considérée ou se considère comme appartenant à part entière à la République. « Je vais clarifier la situation » a promis le Président auquel on ne cesse de reprocher ses valses hésitations. Le Ministre de l’Intérieur, Valls en embuscade –sait-on jamais- évite de parler de cette affaire. Il doit penser « Hollande l’a échappé, bel et bien. Pendant plusieurs jours il a été pisté par un photographe. Un tueur aurait pu faire mouche, en toute sérénité ».
Se pose alors une question : Valls connaissait-il la double vie de François Hollande ? Dans l’affirmative, son comportement est nul. Discrètement, il aurait pu renforcer la protection du maître de l’Elysée. Dans la négative, le 1er flic de France est mal secondé par ses services. Quant aux services secrets… ils sont à côté de leurs pompes. Ces différents services ont désormais le devoir de se culpabiliser et de « revoir » les dispositifs de sécurité. Un motard casqué utilisant régulièrement les mêmes trajets, dans des espaces réduits vers un immeuble, rue de cirque (cela ne s’invente pas !) lequel abrite une, voire plusieurs personnes évoluant dans une mafia nébuleuse, émanant, selon certaines infos, de milieux corses, n’intéresse personne !!! Ou alors, avant ses chevauchées fantastiques, Hollande avait prévenu quelques-uns de ses « supérieurs subalternes »… ce qui signifie en clair que beaucoup d’agents (secrets ou non) étaient dans le secret.
Rétrospectivement, nous tremblons… François Hollande aurait pu être assassiné, hypothèse déjà évoquée, ou pris en otage. Autre hypothèse qui fait frémir : l’appartement a pu être truffé de micros, de caméras. Imaginons que, prochainement, paraissent des vidéos compromettantes… Sans doute n’est-on pas loin d’un scandale aux ramifications redoutables.